Encore un peu de patience : après avoir été repoussée, la date de publication du quatrième et dernier volet des enquêtes de Gabriel Joly est fixée ! Rendez-vous en octobre 2025 pour Le Fantôme de Versailles !

Encore un peu de patience : après avoir été repoussée, la date de publication du quatrième et dernier volet des enquêtes de Gabriel Joly est fixée ! Rendez-vous en octobre 2025 pour Le Fantôme de Versailles !
À l’occasion de la sortie de Pour ne rien regretter en librairie, je me suis lancé un défi personnel, créer une publicité un peu singulière chaque jour, pendant 7 jours !
Pour réaliser ces pubs, j’ai utilisé les logiciels Blender, Character Creator et Photoshop, et je me suis remué les méninges avec l’ami Fabrice Mazza.
En espérant que ces panneaux sauront vous amuser, que vous l’ayez lu ou non… N’hésitez pas à partager !
Alors que Pour ne rien regretter rencontre déjà un joli succès en librairie grâce à vous, voici la liste des prochaines séances de dédicaces, avec l’ajout de plusieurs nouvelles dates, dont l’une sera pour moi très exceptionnelle.
En effet, le dimanche 17 novembre prochain, le talentueux et néanmoins ami Bernard Minier aura la gentillesse de m’accompagner à la Cité des Sciences (30 Av. Corentin Cariou, 75019, Paris) pour une séance de dédicaces exceptionnelle, dont l’intégralité des sommes perçues sera reversée à l’association d’Aide aux Jeunes Diabétiques (AJD), qui, comme vous le savez sans doute, est particulièrement chère à mon cœur de papa…
J’espère que vous serez nombreux à pouvoir nous retrouver, entre 14h et 17h, à l’espace Centre des congrès, au premier sous-sol de la Cité des sciences. Chaque livre que vous achèterez sur place permettra de venir en aide à cette association qui est un soutien salvateur pour toutes les familles dont un enfant est atteint de diabète de Type 1. Je vous en remercie d’avance du fond du cœur ! Tout comme je remercie vivement les éditions XO et Pocket pour leur généreux soutien dans cet événement.
À très vite !
Pour ne rien regretter est sorti depuis une semaine, et je reçois déjà des messages formidables, qui me touchent au plus haut point, tant ce livre compte pour moi. Quelle émotion de découvrir, sur Babelio par exemple, de si beaux retours de lecture ! Je suis comblé en voyant que le combat de Véra – cette jeune femme porteuse de lumière sur les ruines de l’effondrement – a su vous toucher !
En écrivant ce roman, j’éprouvais le besoin d’offrir aux lecteurs la peinture d’un avenir désirable, face aux défis que pose notre siècle, tant en termes de liberté que d’environnement. Un autre monde est possible : rappelons-leur que notre liberté n’est pas à vendre !
Découvrez la bande-annonce de mon nouveau roman…
Je tenais à vous annoncer ici que j’ai pris la décision de quitter la Ligue de l’imaginaire, collectif d’auteurs que j’ai créé en avril 2008 avec mes amis Maxime Chattam, Olivier Descosse et Franck Thilliez, et qui compte aujourd’hui plus de 20 membres. Cela fut pour moi une aventure magnifique, et je crois que nous avons réalisé ensemble de fort belles choses pendant toutes ces années, prix littéraires, soutiens de jeunes auteurs, rencontres mémorables, etc.
Malheureusement, aujourd’hui, ma vie personnelle et professionnelle ne me laisse plus assez de temps pour participer activement à ce collectif, comme j’ai toujours tenu à le faire, et pour tout dire je ne me sens plus vraiment en harmonie avec certains de ses derniers choix. Nos routes associatives se séparent, ce qui n’enlève rien aux belles amitiés que j’ai pu y nouer, et nous aurons mille occasions de nous croiser encore.
Je souhaite encore de beaux succès et de beaux projets à ce collectif auquel j’ai participé avec un immense plaisir, et je me félicite de l’arrivée de bien belles personnes ces dernières années, en espérant qu’elles trouveront le même plaisir que j’ai eu à côtoyer cette bande pendant plus de quinze ans.
Bon vent, et que vivent l’imaginaire, l’amitié et le vin chilien !
Henri Lœvenbruck
J’espère que vous avez passé un bel été (le mien fut studieux) et que votre rentrée se déroule aussi bien que possible !
J’ai beaucoup de choses à vous annoncer dans cette lettre d’information, j’espère que vous saurez pardonner sa longueur ! Vous êtes désormais près de 6 000 à me suivre sur Mastodon (on s’y amuse follement), et presque 2 000 inscrits à cette « newsletter » ; je tenais donc à vous remercier ici de votre fidélité après mon départ des réseaux sociaux propriétaires (départ qui me fait toujours un bien fou) !
1 – Avant tout, c’est non sans émotion et quelque impatience que je peux vous confirmer la date de sortie de Pour ne rien regretter (un roman qui fait écho à Nous rêvions juste de liberté, sans en être une suite directe, et que vous pourrez donc lire indépendamment) : il sera publié aux éditions XO le 24 octobre prochain, et tout ce que je puis vous dire c’est que c’est un roman très personnel, qui me tient particulièrement à cœur, au moins autant que Nous rêvions juste de liberté, c’est dire ! Les plus impatients pourront le découvrir en avant-première lors d’une dédicace à la librairie À Livr’Ouvert le 17 octobre (cf. plus bas).
À Providence, petite ville perdue dans le grand nulle part, une voix s’élève doucement au milieu du silence. Une voix différente. La voix de Vera.
Peu à peu, cette jeune fille écorchée va devenir un symbole de résistance face aux injustices du monde moderne. À la force du cœur et par amour de sa terre, elle va entraîner les siens dans l’ultime combat de David contre Goliath.
Parce que même sur les ruines d’une terre dévastée, il est des fleurs fragiles que rien ne peut empêcher d’éclore.
2 – Côté cinéma, je peux désormais officialiser deux nouvelles particulièrement réjouissantes. D’abord, j’ai participé au scénario d’un film de long-métrage, intitulé Ferris Wheel, aux côtés d’Olivier Torrès et Julien Hosmalin (réalisateur), dont le tournage vient de commencer (je m’y rends d’ailleurs sous peu…), pour les productions Same player. Et c’est justement avec la même équipe que j’ai travaillé sur l’adaptation de Nous rêvions juste de liberté, dont le tournage débutera enfin l’été prochain, une nouvelle magnifique après de longues années de labeur acharné ! Il va de soi que je vous tiendrai ici informés des dates de sortie de ces deux films !
3 – Côté bande-dessinée, si ce n’est déjà fait, je vous invite à découvrir la très belle adaptation du Loup des Cordeliers par Philippe Thirault et Damien Jacob aux éditions Philéas. Ils ont fait un travail remarquable pour donner à Gabriel Joly une vie nouvelle !
4 – Côté musique, je viens de participer à un album hommage à Alain Bashung, sur lequel j’ai repris la chanson Station service aux côtés de son épouse, la chanteuse et comédienne Chloé Mons, le tout sous la houlette du formidable Arca (ancien chanteur et fondateur des Matador’s). C’est un magnifique projet auquel ont participé des artistes comme Francis Cabrel et Pascal Obispo, mais aussi mon bon ami le dessinateur Franck Margerin ! À suivre !
5 – Enfin, voici quelques dates pendant lesquelles vous pourrez venir me rencontrer dans les prochaines semaines :
· Samedi 21 septembre : Festival du Jeu de rôle de Senlis
Je serai présent toute la journée du samedi pour des tables rondes et séances de dédicaces, aux côtés de mes compères Maxime Chattam et Niko Tackian (infos : https://www.festival-jdr-senlis.fr)
· Samedi 12 et dimanche 13 octobre : Festival du polar de Saint-Laurent du Var
J’ai la joie et l’honneur d’être le parrain de cette nouvelle édition du festival, où vous pourrez me retrouver tout le week-end à quelques pas de la mer !
· Jeudi 17 octobre : Dédicace à la librairie À Livr’Ouvert (Paris)
Attention ! Avant-première ! À l’occasion de la sortie imminente de Pour ne rien regretter, vous pourrez venir découvrir et vous faire dédicacer mon nouveau roman une semaine avant sa sortie nationale dans cette chouette petite librairie indépendante du XIe arrondissement de Paris, à quelques pas de la rue où je suis né ! Dédicace dès 17h30, suivie d’un apéro pour les plus tenaces ! (infos : https://www.alivrouvert.fr)
· Samedi 19 et dimanche 20 octobre : Festival sans nom (Mulhouse)
C’est avec un immense plaisir que je reviendrai cette année au festival que j’ai eu le plaisir de parrainner il y a deux ans (infos : https://www.festival-sans-nom.fr)
Voilà, c’est tout pour le moment, et c’est déjà pas mal !
À très bientôt pour de nouvelles aventures !
L’édition 2024 des Quais du polar de Lyon fut un cru exceptionnel, à la hauteur de leur 20e anniversaire. Une fréquentation incroyable, une ambiance réjouissante et des rencontres inoubliables. Venu avec mon appareil photo, j’ai eu tout juste le temps de voler quelques portraits de mes camarades, dont la promiscuité m’a fait un bien fou… En voici quelques uns…
Un immense merci à tous ceux qui, par leur vote, ont permis à J’irai tuer pour vous de figurer dans le top 10 des meilleurs polars de ces 20 dernières années, après un vote de 14 000 lecteurs organisé par Babelio.com et les Quais Du Polar !
Et par la même occasion, un immense merci à tous ceux qui ont permis à l’édition poche des Disparus de Blackmore de se maintenir dans le top 20 des meilleures ventes en poche depuis plus d’un mois, ce qui est une première en trente ans de carrière. Merci pour l’accueil que vous réservez à ma chère Lorraine !
Chères et chers,
J’ai une très bonne mauvaise nouvelle à vous annoncer.
Contrairement à ce qui était prévu, Le Fantôme de Versailles, quatrième tome des enquêtes de Gabriel Joly, ne sortira pas cette année… Lors, je prie tous ceux qui l’attendaient de pied ferme de m’excuser, et j’espère que la raison de cette annulation saura les réjouir tout autant que moi.
Car, en effet, la vie étant parfois un peu étrange, et comme j’ai pris l’habitude de tout vous dire, figurez-vous que cela faisait des semaines et des semaines que je n’arrivais pas à avancer dans mon écriture. Pour la première fois de ma vie. Je m’enfermais tristement dans une sorte de blocage, occasionné sans doute par mes préoccupations diverses en ces temps quelque peu troublés, et qui d’ailleurs avait déjà fait reculer la date de sortie dudit roman. Et puis, tout à coup, paf, j’ai compris ! J’ai compris pourquoi je n’arrivais pas à écrire ce livre-là : un autre m’appelait.
Un autre livre, dont je vous ai déjà parlé ici, et qui me suppliait de venir l’écrire, toutes affaires cessantes. Parfois, il faut savoir reculer pour mieux sauter alors, en commun accord avec ma bienveillante éditrice que j’aime si fort, j’ai rangé Gabriel bien au chaud dans un tiroir, et je me suis lancé tête baissée dans Pour ne rien regretter, un roman qui raconte l’histoire de Vera, fille spirituelle du Bohem de Nous rêvions juste de liberté.
Et ma parole, quel bonheur ! Je ne crois pas exagérer en disant que jamais, en trente ans de métier, je n’ai éprouvé une telle ferveur en écrivant un roman. Les mots me viennent tout seuls, les pages défilent comme une envie de liberté, Vera prend vie sous mes doigts comme si elle avait toujours existé, et ensemble on se sent pousser des ailes, et bon sang qu’est-ce qu’il me tarde de vous la présenter !
Aussi, je vous demande encore un peu de patience et vous promets qu’en octobre prochain vous pourrez rencontrer ma petite Vera, ma deuxième Bohem, et je veux croire qu’elle vous emportera comme elle m’emporte à Providence, au fil des pages de Pour ne rien regretter.
Je pense à vous chaque jour, en tapant sur mon clavier. Promis. Je pense à vous et je vous remercie de votre fidélité patiente. De votre confiance. Et d’ici là, peut-être aurons-nous le plaisir de nous croiser aux Quais du polar de Lyon, où je serai présent pour fêter leur vingtième anniversaire.
Prenez soin de vous et des vôtres, la vie est un cabaret !
Henri